Gruber pouvait voir la Michaels secouer la tête via son moniteur. «C’est la meilleur information que je peut te donner. Elle avait une fameuse réputation en tant que chasseuse de primes, il y a quelques années. De ce que j’ai pu dénicher, elle s’est retiré des affaires. Elle à mit en place un petit consortium d’opérateurs, travaillant tous sous la bannière de Vencia Retrievals. Ils sont basé à l’extérieur de Borea. C’est pas un énormes groupe, mais suffisament important pour pour rapporter de quoi bien vivre, du moins d’après les rapports du fisc.

Lesquels je n’aurais jamais du y jeter un oeil.»

Gruber sourit à l’écran. «J’apprécie le coup de main, Serge, vraiment.»

«Ben, je voudrais pouvoir dire que je comprend, Oskar, je sais que tu as toujours eu un interêt particulier pour les navires, mais tout cela m’a l’air trop gros, même pour toi. Je suis inquiets.»

Gruber pensa un moment à expliquer la situation. Que ce n’était plus au sujet du navire uniquement a présent. Oh, plus il en apprenait, plus il était convaincu que ce modèle de navire ne pouvait pas être un modèle de série. Il avait été personnalisé. Et cela l’intriguais. Qui prendrais la peine de créer une version personnalisée d’un Cutlass? Après tout, ce n’était pas un navire de croisière ou un yacht spatiale pour millionnaire. Et il devait bien admettre , que lesdétails étaient trivials, et qu’ils n’avaient aucunes importance pour le commun des mortels, excepté peut être pour un collectionneur ou un obsédé. Mais Gruber ne pouvait oublier le contenu du casier. Il se sentait guidé, non pas par le navire, non plus par le médaillon, mais par le besoin de trouver le ou la propriétaire et de lui ramener le tout. Bien sur, il savait que cela ne changerait rien. Peut être cela l’aiderait dan la recherche de réponses à ses questions dur le navire, et même si il ne trouvais pas de réponses a ses questions, il voulait ramener ce médaillon chezlui. Mais il ne pouvait en parler à Michaels; cela lui semblerait encore plus ridicule.

«C’est bon, inutile de t’inquieter, j’ai juste.... j’ai du temps libre. Et je veux en apprendre plus sur ce navire. C’est un.... truc...technique.»

Serge secoua a nouveau la tête. «Sois juste prudent, okay? D’abord tu as voulu parler avec un pirate emprisonné, maintenant, tu cherche un chasseur de prime célèbre.» il rit doucement, « Et franchement, qu’est ce qui te fais croire qu’elle acceptera de te parler?»

«Parce que,» répondit Gruber d’un ton prudent, «j’ai prit un rendez vous.»

****

Gruber savait qu’il ne pourrait pas convaincre Michaels. C’était ennuyeyx et frustrant, mais Gruber savait que Michaels était juste inquièt. En vérité, Gruber savait qu’il n’aurait jamais dû acheter ce navire, ou tout du moin aurait il du rester travailler pour l’équipe de Stark. Gruber avait de la ténacité et de l’obstination, mais il n’avait pas beaucoup d’argent, et il n’avaient plus de travail. Peut importe, pour citer les histoires qu’il avait tant lues étant jeune, la mort avait été invoquée. Il avait commencé ce voyage et il allait le terminer. Il n’arrivait pas à oublier la gravure sur le médaillon. Il entra une trajectoire vers Borea et lança un appel pour contacter le consortium du chasseur de prime.

Gruber réussi à rejoindre Borea sans incident. Une fois sur place, il n’eut pas à attendre longtemps sa rencontre avec Zara Vencia. Gruber se retrouva assit dans une salle de conférence plutôt sympa. Ce n’était pas flamboyant, mais elle laissait entrevoir le succès financier de la société Vencia Retrievals, avait accomplis.

Il était assis dans un siège confortable, battant la mesure avec ses doigts sur la table, quand la porte s’ouvrit et une femme entra dans la pièce. Elle était grande, plus grande que Gruber. Elle avait largement passé la cinquantaine, mais elle semblait encore en forme et l’oeil vif. Elle marcha rapidement vers la chaise a l’opposé de Gruber et s’assit dessus.

«Mr Gruber, je présume?»

«Oui madame. Madame Vencia?»

Elle hocha la tête pour confirmer. «Vous comprendrez bien entendu, que je n’ai pas pour habitude d’avoir un entretient avec nos clients potentiels. Cependant, mon secrétaire m’a informé que vous aviez fortement insisté. Et que vous consideriez l’objet de votre recherche comme ayant un interêt personnel avec moi même.»

«Oui c’est exact. Le fait est que je penses que vous étiez déja au courant.»

«Bien, nos honoraires ne sont pas bon marché, mais je penses que vous les trouverez très raisonable compte tenu de la qualité des services fournis par notre organisation. Bien entendu, il y aura de nombreux facteurs, qui seront déterminé par l’objet de votre recherche, le nombre de personnel qui seront utiliser pour la recherche, ce genre de chose.»

Gruber était confus, «Je ....des honoraires?»

«Vencia semblait ennuyée. »Oui, nos honoraires pour rechercher le navire qui vous interesse.»

«Non, non. Je n’ai pas besoin de trouver le navire, je l’ai déjà. Je suis arrivé avec ici à Borea.»

«L’expression de Vencia devint de plus en plus froide. A cet instant précis, Gruber sû ourquoi on la dédignais comme sans coeur et au visage de marbre. Sans une once de compassion. Si un regard pouvait tuer, gruber serait déja mort. »Si vous ne souhaitez pas avoir recour aux service de mon organisation,» Dit elle sêchement, «Pourquoi me faites vous perdre mon temps?»

«Je penses que vous connaissez ce navire. En fait, je penses qu’il vous a appartenu. Je voulais juste vous poser quelques questions a son sujet.»

«Et qu’est ce qui vous fait penser, précisément, Mr Gruber, que j’ai des réponses pour vous?»

«Parce que le navire s’appellait le Glorious Reach.»

Pendant un très bref instant, son visage perdu de sa dureté et Gruber put voir une vieille douleur s’éveiller dans ses yeux. Il connaissait ce reguard. Mais le moment passa aussi vite qu’il était arrivé. Elle se leva pour se tenir au dessus de la table de conférence, reguardant Gruber en face. Gruber se rappella qu’ elle n’était pas un de ces chef d’entreprise comme les autres. Elle s’était faite une réputation en tant que chasseur de prime à l’origine, ramenant les pires ordures du secteur face à la justice, mort ou vif.

«Voila un nom que je n’avais plus entendu depuis bien longtemps.»

Elle se rassit sur la chaise opposée a Gruber. «Donc, Mr Gruber, peut être seriez vous assez bon pour me dire ce que vous savez sur ce navire.»

****

Gruber avait fini de raconter à Venicia ce qu’il avaait appris sur le navire jusque là. Elle l’avait écouté avec attention tandis qu’il lui racontait l’histoire de l’épave , ainsi que sa discussion avec Quister à Lorona.

«Alors, vous êtes allé voir quister en prison?»

«Oui, je l’ai fait.»

«C’était incroyablement stupide de votre part. Il reste toujours un homme dangereux. L’univers se porterait bien mieux sans lui.»

Le visage de Gruber devint rouge. «Ce n’est pas la première fois que j’entends cette opinion, madame. Mais il m’a mener jusqu’a vous.»

Elle rit, mais on ne pouvait lire aucune humeur sur son visage. «Il vous à envoyez à moi. Il a toujours été ce genre de salopard. Je ne doute pas qu’il ai trouvé l’idée charmante de me faire savoir qu’il était toujours en vie.»

«Il a parlé de vous .... plutôt en bien.»

«Il est une pathétique representation de la race humaine. Je me suis sentie solanellement obligée de m’assurer de sa capture. Malheureusem--ent, l’Empire à préferé l’incarcérer plutot que de lui infliger la punition qu’il méritait vraiment. Il a reçu des protection en haut lieu, mais bien entendu je n’avais aucunes preuves d’intervention a son éguard.» Elle jeta sur Gruber un reguard intense, «Mais vous n’êtes pas ici pour me demander mon opinion personnelle sur ce genre de saleté de pirates. Je crois que vous vouliez en savoir plus au sujet de mon vieux navire, bien que je n’arrive pas à comprendre pourquoi.»

«J’ai des raisons de croire qu’il y a quelque chose de spécial au sujet de ce navire, madame. Les recherches que j’ai faites jusqu’a présent, me laisse croire qu’il s’agit d’un navire personnalisé. J’espérait que vous pourriez me fournir des informations a ce propos.»

«Une fabrication personnalisée? J’ai du mal à le croire, c’est un Cutlass. Oh, un bon navire dans les limites de ses capacités, mais certainement rien qui ne sorte de l’ordinaire.»

Le visage de Gruber se décomposé. «Mais ... mais je veux dire, j’ai prit des mesures, j’ai fait des recherches sur les composants, ce n’est pas un Cutlass ordinaire. Même Quister à dit qu’il n’avait trouvé aucune pièce détachée standard pour lui.» Cela semblait faible comme argument, même au moment où il le dit. Mais elle s’assit, froide et sans expression, et ils ne sut pas quoi dire d’autres qui ne semblerait pas plus dingue.

Vencia jetta un reguard de coté, «Et bien ,Mr gruber, si ce navire est si spécial, et que vous avez librement admit qu’il était ma propriété, qu’ est ce qui m’empecherait de le réclamer?» Gruber tapota et afficha quelque chose sur son MobiGlas. «parce que vous avez remplis et accepter une compensatio ndel’assurance pour ce navire. Légalement, vous avezrenoncer àtout droits concernant ce navire. Par procédurede l’Advocacy, l’encaissement de la compensation del’assurance vous à liberé detout droit de propriété par la ccompagnie d’assurance. La loide l’amirautésur larécupérationretire tout droit de réclamation a tous les proches du propriétaire qu’il eu put avoir. Mon payé pour l’achat, conqéquent, ansi que les taxes quej’aipayé, renforcent mon droit de propriété. »

Pour la première fois , ellesourit.«Je devrais peut êtrerevoir l’opinion que j’ai de vous, Mr Gruber.Vous semblez en effet avoir tout vos titres enordres concernat votre doit de propriété. Mais malgrés tout, soyez assuré que même sij’avais ledroit deréclamer cenavire, je ne le voudrait pas.» Son sourire se transforma en grimace. «Chaque vaisseau a ses propre petites bizareries, Mr Gruber. Si je me base sur vos occupations, je penses que vous le savez déja. Les navires sont comme les gens, ils changent parfois d’une manière que vous n’esperez pas toujours. Des parties sont enlevée et remplacée, Parfois ils prennet un autre chemin de ce pour quoi ils ont été concus à l’origine. » Elle reguarda au dela de Gruber, avec ce reguard lointain des souvenirs qui refont surface. « Parfois ils sont perdu avant leur haure.» Elle retourna sa chaise pour lui faire face à Gruber. Il ne savait pas quoi faire de tout cela. Ils restèrent assis tout les deux, en silence, jusqu’a ce que finallement elle reparle a voix basse.

«Je n’ai plus vu le Glorius Reach depuis vingt ans. Je n’y penssait même plus depuis moitié moins longtemps.» Elle se retourna pour faire face a gruber a nouveau. « C’était ma partenaire qui avait eu l’idée d’acheter ce navire. A cette époque, mon organisation était loin d’être aussi grande qu’aujourd’hui. Seulement cinq employés, avec suffisament de revenu pour éviter que notre bilan soit dans le rouge. La plus grande difficultés qu’on avait a cette époque, ce n’était pas de trouver les gens; C’était de les transporter une fois qu’on les avaient. Ce boulot;» elle agita les mains autour d’elle de manière vague, «Ce n’est pas vraiment un boulot traditionnel. Même aujourd’hui, à l’exeption de l’Advocacy, il y a peu de navire conçus pour le transport de personnes contre leur grés. Alors on a du faire avec ce qu’on avait. Drake Interplanetary venait juste de commencer sa production, et le Cutlass n’avaient pas alors la réputation qu’il a aujourd’hui. Drago, mon partenaire, à vu le cutlass comme le navire parfait pour l’amménager de sorte a ramener nos aquisitions vers les services de l’ordre. Personnellement, je ne l’avais pas vu ainsi, mais par contre je voyais que son prix était dans nos mouyens. Et ainsi, nous nous sommes retrouvés sur le marché a la recherche d’un Cutlass. Je dirais bien que nous étions à la recherche d’un modèle de base, mais c’est bien ce que sont tout les cutlass après tout. Je suppose que de ce point de vue, c’est un bon argument de vente. Pas de chichi, pas de fioritures, juste un navire fonctionnel. Je dois bien admettre que l’utiliser pour le transport de nos captures était un net progrès comparativement au vaisseau monoplace que nous utilisions avant cela. La possibilité de marcher dans la soute, rendait les long et fastidieux voyages, un peu moins fastidieux.»

Gruber la regarda dans l’expectative. « Donc vous avez personnaliser le navire?»

 «Il y a une grande différence entre personnaliser un navire et en avoir un construit de façon personnalisée.» Elle pinça les lèvres, « J’aurai cru que vous comprendriez ce concept.»

«Ho, je, et bien ,oui, je comprends que vous me dites qu’il n’a pas été construit de manière personnalisée pour vous. Mais quand vous l’avez modifié, vosu avez certainement dû remarquer quelques différences.»

«Mr Gruber, Je ne suis ni ingénieur, ni technicienne. Je suis en charge de cette compagnie aujourd’hui, tout comme je l’était alors. Je n’ai bien entendu fait aucune modification sur ce navire par moi même. Comme je vous l’ai dit, Drago pensait que le Cutlass pouvait être modifié pour convenir a nos besoins. Tout ce qui concernait les modifications sur le navire était de son domaine. En ce qui me concernait, je m’occupait de savoir comment obtenir les modifications, pas de les installer.»

«Peut être a t il mentionner quelque chose? Certains détails qui lui aurait poser problème où certaines partie qu’il ne pouvait pas trouver?»

«Rien de tout cela ne me viens à l’esprit. Et a nouveau, je vous assure, il n’y avait rien d’extra-ordinaire au sujet de ce navire.»

«Et bien... Peut être quelqu’un a t il essayer de faire une copie du Cutlass. Un concurant peut être, et il aura finit entre vos mains?.»

« Impossible.»

«Mais comment pourriez vous en être sûr?»

«Parce que, Mr Gruber, je l’ai acheté directement chez Drake Interplanetary.»

Oskar Gruber s’assis, découragé. Il savait que la preuve était là, il savait qu’il devait y avoir plus que cela. Zara Vencia dût ressentir ce qu’il ressentait; son expression s’adouçit et elle secoua doucement la tête. «Je peut comprendre,» dit elle, «Après tout ces efforts que vous avez mit pour retrouver l’hitoire de ce navire, pourquoi voulez vous en savoir plus. C’est déja remarquable que vous ayez réussi en savoir autant jusqu’ici; vous auriez fait un bon tracker vous aussi.»

Gruber regarda a nouveau Vencia. Il était déchiré, Il lui restait une dernière preuve. Il n’avait encore mentionner l’existance du médaillon à personne. Ni à Stark, ni à Michaels, et certainement pas à Quister. Il ne voulait le mentionner a personne avant d’être sur d’avoir retrouver son origine. C’était un secret qu’il portait, un fardeau et mais c’était un but aussi. Il voulait le ramener a son propriétaire. Gruber se rappella le regard dans ses yeux quand il mentionna pour la première fois le nom du Glorious Reach. Il n’avait pas parler du médaillon à quister car il ne faisait pas confiance au vieux pirate. Il ne l’avait pas dit à Michael ni à Stark car il ne pensait pas qu’il puisent comprendre. Mais en regardant Zaria Vencia, à la façon dont elle s’était comportée en parlant du navire, Gruber eu le sentiment qu’elle pourrait comprendre. Il fouilla sa poche et sorti une petite boite. Il la placa sur la table en face de la chasseuse de prime. «J’ai trouvé ça.» dit il. «Caché à l’intérieur d’une boite de jonction sur le navire. J’espérait le ramener à celui ou celle qui l’avait mit dedans. Savez vous quoi que ce soit a son sujet?»

Vencia se pencha pour prendre la boite. Elle l’ouvrit et reguarda a  l’intérieur. Elle sorti le médaillon de la boite, puis ouvrit doucement le clapet, examinant le médaillons comme si il s’agissait d’une pièce a conviction.

«Il est très bien confectionné, simple, mais élégant. Tout comme l’inscription sentimentale a l’intérieur.» Elle replaça le médaillon dans la boite. «Savez vous où la sentimentalité vous mène dans mon boulot, Mr Gruber?» elle le fixa du regard, son regard semblait le transpercer de part en part. «Il vous mène a vous faire tuer.»

Elle se releva. «si vous voulez bien m’excuser, j’ai du travail qui  m’attend. Je vous suggère de faire de même.» Elle quitta la pièce, laissant Gruber assit là.

****

Gruber s’assit dans la soute du Outbound Light. Il était resté au spatioport de Borea pendant deux jours. Il n’avait pas appellé Michaels. Plus il restait a bord du navire, plus il y passait du temps, plus il était convaincu qu’il y avait plus de choses a découvrir au sujet du navire et du médaillon. Il pensa a contre coeur de contacter directement Drake Interplanetary. Peut être pourrait ils avoir des enregistrements qui pourraient réfuter ce que la chasseuse de prime lui avait dit. Ou que le navire puisse avoir été un navire de seconde main, et que Vencia l’ignorait. Il était clair d’après ce qu’elle lui avait dit que le navire était un des premiers modèles que Drake avait produit. Il pasa un peu de temps a faire des recherche dans les archives publiques. Il vit les vieilles publicités, il lut tout ce qu’il trouvait sur la création de Drake Interplanetary. Rien ne pu lui donner de l’espoir. Il savait qu’il devrait prendre une décision tôt ou tard; il ne pouvait pas simplement rester assis là. L’idée de retourner voir Stark pour lui demander du travail était plutôt vain et certainement futile.

Ce ne sera pas Stark, se dit il à lui même. Je suis un bon tecnicien, et un bon opérateur. Il y a d’autres opérations de récupérations. Et j’ai un navire, pensa t il. Je pourrait débuter ma propre compagnie. Faire de l’exploration comme Zharkov, ou engager quelques personnes et devenir pirate, comme Quister. Il souris à lui même puis hurla dans la soute vide, «L’espace est la seule limite!» Il se sentait comme un fou. Il faillit faire un bond quand son MobiGlass se mit a sonner, indiquant une transmission entrante. Il activa l’appareil, et fut surpris de voir le visage de Zara Vencia qui le regardait.

«Mr Gruber.»

«Madame Vencia. Je ne m’attendait pas a cet appel.»

«Mr Gruber, j’ai bien peur d’avoir été un peu brusque lors de notre dernière réunion. » Elle raguarda hors de l’écran pendant un moment, puis se retourna pour faire face a l’écran. «Je me demandais si vous vouliez en entendre un peu plus au sujet de votre navire.»

Gruber était sous le choc. «Pourquoi, oui bien sur. Dois je vous rencontrer à votre bureau?»

«Si cela ne vous fait rien, je préfèrerai avoir cette discution maintenant, je suis dehors.»

Gruber descendit la rampe de la soute en courant, manquant de tomber.

Il se tenait devant Vencia, qui examinait l’extérieur du Outbound Light. Elle passait sa main le long de la coque extérieure, puis elle reguarda par dessus son épaule vers Gruber. «Je n’éxagérait pas en sisant ne plus avoir vu ce navire depuis plus de vingt ans. C’est amusant.» dit elle tandis qu’elle séloignait de la coque en reculant, pour avoir une vue complète du navire. «Il a l’air si différent tout en restant le même.»

Elle donna à Gruber le même regard dur qu’elle lui avait donné dans la salle de réunion. « Quand mes contacts à l’Advocacy m’ont dit avoir récupérer ce navire des mains de quister, je leur ai dit de le mettre à la casse. J’ai toujours pensé qu’il aurait du être mit en pièce. Je ne voulais pas me souvenir.» Elle jetta un reguard au hangar où gruber avait posé le navire. « En le voyant maintenant, ce n’est pas si mal que ce que je l’aurai imaginé.»

Gruber se senti incomfortable soudainement. «Si vous voulez monter à bord, madame, je pourai vous offrir une tasse de thé.»

Elle acquièssa de la tête. «Ce serait très hospitalié de votre part.»

Alors qu’il montaient la rampe pour entrer dans la soute, ses yeux parcoururent la soute de fond en comble. Tandis que Gruber s’affairait à préparer deux tasses de thé dans la petite pièce cuisine. Tandis qu’il préparait le thé, Vencia fit un nouveau commentaire. « Je n’aurai certainement pas reconnus cette partie.»

«Madame?»

«Je vous en prie, arrêter de m’appeller madame. Vous me faites me sentir vieille. Avec ce que je suis venu vous dire, vous pouvez m’appeller Zara.»

«Oui mad - Zara. et je vous en prie, appellez moi Oskar.»

En prenant la tasse de thé qu’on lui offrait, elle gesticula vers l’espace d’habitation. «D’après ce que vous m’avez dit, voici donc certaines des modifications que Mr zharkov à faites.»

Gruber secoua la tête.

«Cest très intéressant. Quand je possédait ce navire, la soute était utilisée pour le transport des fugitifs que nous avions capturés. Drago avait installé plusieurs cellules de détentions. Il avait l’habitude de blaguer en disant que c’était la soute de détention.»

«Votre partenaire, il était en charge du navire, je présume?»

«oui, Drago avait la charge de ce que nous considérions comme la branche transport de notre affaire. Mon travail consistait à traquer les fugitifs et de les arrêter. Une fois qu’on les avait sous contrôle, j’appellais Drago et il les transportait là où on devait les livrer. Le Cutlass est célèbre pour sa maniabilité, je suis sur que vous le savez, mais Drago pensait qu’il avait le potentiel pour être rapide aussi. Il n’arrivait pas a rivaliser avec mon Avenger, mais j’ai été surprise de voir la vitesse qu’il pouvait en tirer. Il a passé presque une année à le modifier, une pièce a la fois. » Elle sourit l’air morose. ‘ «J’était furieuse pour les dépenses qu’on occasionner le remplacement de tout ses moteurs en une seule fois. Mais a l’époque, j’ai toujours eu du mal à lui dire non.»

Elle reguarda aux alentour un moment, puis finallmeent elle s’appuya sur l’un des siège rabatut se trouvant près de la porte du cockpit. Gruber rougit face a son manque de manière, Il déploya le siège et le désigna de la main. «Je vous en prie, asseyez vous.»

«Merci.» Elle s’assit avec gratitude et sirotta son thé. «C’était amusant à l’époque, ça l’est moins aujourd’hui, combien de temps Drago a t il bosser sur ce navire. Il avait une idée folle, qu’il pourrait sous-traiter les modifications avec drake. Il pensait que ses idées pourrait remplir ce rôle particulier pour d’autres, tout comme il l’avait fait pour nous. Nous pourrions alors vivre des Royalties et arrêter la chasse aux criminelles.» Elle se sourit a elle même. «Je penses qu’il était toujours inquièts qu’il m’arrive quelque chose durant le travail.»

«J’espère ne pas être trop indiscret, mais il était plus que votre partenaire de travail n’est ce pas?»

«Elle reguarda Gruber, son visage était triste et légèrement tendu. »Il l’était. en un autre temps, une autre vie, je suppose que nous nous serions marié. Mais nous étions jeunes; nous avions une affaire à faire tourner. Nous pensions tout les deux que nous aurions tout le tems plus tard.» Elle baissa les yeux. «Nous nous trompions.»

Elle fixait sa tasse de thé, en silence, pendant un moment. «Vous avez dit avoir trouvé le navire dans l’espace, le capitaine mort.» quand Gruber hocha la tête elle continua. «Il n’est pas le premier à mourir sur ce navire.»

Gruber essaye de penser à quelque chose à dire, mais il ne trouva aucun mot. Il resta debout, calmement, et Vencia continua de parler. «Parfois, il y a des souvenirs que je préfèrerai ne plus avoir.» Elle lui jetta un ragard. «Je penses que vous pouvez me comprendre quand je vous dit cela. Je penses que c’est la raison pour laquelle j’ai été si dure quand j’ai vu le médaillon. Et non,» dit elle avant que Gruber ne puisse poser la question. «Ce n’est pas le mien. Ni un médaillon que Gruber aurait pu posséder. Ce...Ce n’était pas son style.» Elle fit une pause, perdue dans ses pensées, avant de parler a nouveau. «nous avons utiliser ce navire durant trois ou quatre années avant que Drago ne me parle d’engager une nouvelle personne dans l’affaire. Quelqu’un de sa planète d’origine. Le type avait eu un passé un peu tumultueux, mais Drago l’avait connu enfant. Je pensait que c’était une mauvaise idée, mais Drago voulait lui donner une seconde chance. Il m’a raconté a quel point cela avait été dur, de grandir là ou il avait grandit. A quel point c’était difficile de se voir offrir une opportunité autre qu’une vie criminelle. Et ainsi, contre mon propre jugement, j’ai laissé Drago engager James Quister. Une semaine plus tard, Drago était mort et le navire était volé.» Son visage prit cette air dur que Gruber reconnu. «Cela m’a prit six ans, trois mois et huit jours pour mettre ce batard a terre. Mais il a été prit, et a présent, il est assis dans sa prison tandis que Drago est toujours mort.»

«J’aimerai savoir quoi dire, zara.»

«Il n’y a rien a dire, La vie change,» elle remua les bras autour d’elle, «tout comme les navires changent. Je me fiche de me souvenirs de ce qui s’est passé, et je m’excuse pour la rudesse dont j’ai fait preuve précédement. Mais il y a une chose que je voulais vous montrer. Quelque chose qui pourrait bien vous interesser.»

Elle se leva, activant son MobiGlass. Elle passa en revue différents écrans et finallement arriva à un afichage. Elle sélectionna une photo et l’élargit pour que Gruber puisse la voir clairement.

C’était l’image d’une Zara Vencia plus jeunes. Elle souriait joyeusement d’une façon que Gruber n’aurait pas cru possible hier encore. Elle tentait de manière évidente à avoir l’air sérieuse mais n’y arrivait pas du tout. En la voyant aujourd’hui, après toutes ces années, Gruber pouvait voir a quel point elle avait changée et s’était endurcie. La jeune femme sur l’image, grande et très belle, n’avait pas le look froid de la chasseuse de prime qui se tenait près de lui en ce moment. Les yeux de la jeune Zara étaient du même bleu, mais brillaient et rayonnaient. Ils semblaient naifs, et il pouvait presque ressentir de l’espoir pour l’avenir. Il se tourna vers la vieille femme. Elle a raison, pensa t il en lui même. Les gens sont comme les navires, ils changent. il regarda a nouveau l’image pour l’étudier, Se tenant près de Zara, un beau jeune homme à la peau sombre. Son bras reposait sur son épaule et il faisait un geste «pouce levé» à l’objectif. Son sourire était encore plus large que le siens. et il ne faisait aucun effort du tout pour sembler sérieux. En arrière plan de la photo on voyait la coque d’un navire. Une coque arrondie qu’il conaissait bien.

«Nous l’avons prise le jour où le navire fut livré. Drago pensait qu’il était important d’immortaliser le début de notre aventure. Je n’avais pas regarder cette images depuis un long moment, mais notre conversation m’a donner l’envie de la retrouver. Je pensait que cela pourrait vous intérresser.»

Gruber pointa du doigt la photo. «Il y aurait il quelque chose d’écrit sur la coque? C’est....et bien, on dirait un nom, mais on dirait qu’il a été peint a la main sur la coque, je n’arrive pas à lire ce qu’il dit.»

«Je ne mentait pas quand je vous ai dit avoir acheter le navire directement à Drake interplanetary. Mais le Cutlass n’était disponible que depuis un an a cette époque. Il se construisait déja une solide réputation, et Drake avait du mal à honorer toutes leurs commandes. J’avais commandé un nouveau Cutlas, mais quand nous sommes allé en prendre livraison, il y eu une erreur de livraison. Aucun nouveaux navires n’étaient disponibles. Tout ce qu’ils avaient étaient des version d’occasion qui étaient destinée à la milice locale en offre promotionnelle. Drake voulait vendre, et j’avais besoin d’un navire. Je ne pouvais pas dire non à une telle affaire.»

«Alors, qu’est il écrit sur le coté de la coque?»

«L’inscription dit, The Pride of Kingsport.» «Pride of Kingsport? qu’est ce que ça veux dire? est ce le nom du navire? qu’est ce que Kingsport?»

«Je n’en ai aucune idée. Vous aviez raison, quelqu’un a peint cela sur le coté du navire, les deux cotés en fait. Mais je n’ai pas la moindre idée de ce que ça veux dire.»

«Peut être un endroit dont je n’ai jamais entendu parler. Peut être l’endroit où le navire a été construit. Où de celui qui l’a construit.»

«Comme je vous l’ai dit, je n’en sais rien Oskar. Nous ne nous sommes jamais soucier d’où venait ce navire, seulement de ce que nous allions en faire.»

«Et bien, il doit y avoir un moyen de remonter la piste, quelqu’un doit savoir.»

«Je suis certaine que quelqu’un sait. je sais qui j’irai voir en premier pour demander.»

«Qui?»

«Vous êtes déja sur Borea. Demandez à Drake Interplanetary. Ils l’ont vendu.»

-A SUIVRE ...