SHOWDOWN !

ERIA QUINT : Bonjour et bienvenue pour un nouvel épisode de ShowDown, Une analyse rapide et sauvage des problèmes qui captivent l'attention de l'empire, et ce par deux point de vue très différent. Je suis votre hôte, Eria Quint. La semaine dernière, les fonctionnaires de la Division Santé de l' UEE ont fournis leur évaluation annuelle. Le rapport a causé une tempête de feu parmis le public ainsi que dans la communauté médicale en révélant plusieurs incidents d'activités illégales dans tous les hôpitaux et les stations médicales de l'empire. Le Dr. William Gosha, médecin résident au centre médical de Galen sur Goss III, nous à rejoint pour discuter de ces répercussions.

DR. WILLIAM GOSHA : Bonjour.

ERIA QUINT : Ainsi que le directeur Sara Ayer, de l'hopital Saint Yor sur Locke.

SARA AYER : C'est un plaisir d'être ici.

ERIA QUINT : Je pense que la plupart des personnes ont été simplement étonnées de l' ampleurs des résultats. Je pense qu'il y a une idée reçue, qui,  lorsque vous traitez avec les systèmes et les colonies qui sont encore en construction, il peut arriver que les installations médicales soit un peu plus négligente quand arrive le moment de faire un rapport à leurs patients, mais cette liste d'infractions  inclus une poignée d'hôpitaux bien connus dans des systèmes sécurisés. Du coup, en voyant le nombre d'infractions qui y sont commises pratiquement chaque jours....

DR. WILLIAM GOSHA : C'est honteux, vraiment.

ERIA QUINT : Veuillez développer.

DR. WILLIAM GOSHA : Un message doit être envoyé avec fermeté aux établissement expliquant que ce comportement mènera non seulement à des pertes d'emplois, mais également a des poursuite pour actes criminels. jusqu'ici, cela tombais sous la responsabilité de la direction de l'hôpital et des autorités locales, mais je pense que l'Imperator et le Haut-Avocat doivent s'impliquer et placer les hôpitaux sous la juridiction de l' Advocacy et y faire respecter la loi.

SARA AYER : Je suis désolé, mais comment , le fait d'ajouter encore plus de bureaucratie a la chose la réglera-t-elle?

DR. WILLIAM GOSHA : Il faut restructurer le système d' ID-scan afin de pouvoir identifier les patients frauduleux. Donner des peines plus lourdes aux vol de fournitures médicales.

SARA AYER : Mais vous devez vous rendre compte que tout ceci provient du budget…

ERIA QUINT : Comment cela, Madame Ayer ?

SARA AYER : que vous le vouliez ou non, votre salaire reflète la foi et l'appréciation de votre employeur. Quand les fonds d'opération sont réduits, ce signifie que vous ne pouvez pas offrir à des candidats un salaire concurrentiel avec la plupart des installations médicales privées. Si ces médecins ne peuvent pas gagner le salaire nécessaire pour soutenir une famille, ils peuvent commencer à rechercher des manières alternatives de compenser leurs revenus perdus, et c'est a ce moment là, que les choses commencent à devenir dangereuses.

DR. WILLIAM GOSHA : Je suis désolé, mais je trouve cela inquiétant de penser que nous en sommes arriver a un tel point qu'il soit nécessaire de payer pour que les gens aient un comportement convenable.

SARA AYER : Je ne suis pas totalement en désaccord . À mon hôpital, nous avons toujours maintenu une politique de tolérance zéro envers n'importe quel personnel qui s'engage dans un comportement illégal ou non conforme a l' étique. Mon point de vue est que nous devons nous concentrés à combattre l'environnement qui permet à ces actes de prospérer, et non pas de créer des sanctions plus dures pour ceux qui les commettent. Nous devons comprendre pourquoi autant de ces professionnels  sentent la nécessité de s'engager dans un tel comportement. À mon avis, je commencerais par revisiter les dotations financières.

DR. WILLIAM GOSHA : Et cet argent pour revigorer tous les hôpitaux dans l'UEE, d'où est il censé pour venir ?

SARA AYER : Peut-être le centre médical de Galen pourrait-il sacrifier une partie de son financement militaire pour aider à résoudre ce problème.

DR. WILLIAM GOSHA : Très drôle.

ERIA QUINT : Mais parfois, il n'y avait pas de liaison directe entre le budget et la légalité, prenons le cas de Terra General. Situé dans la banlieu, l'hôpital maintient un budget respectable, mais a toujours eu des cas multiples de personnel effectuant des actes illégaux de temps en temps.

DR. WILLIAM GOSHA : Ainsi votre avis précédent tombe en morceaux. Voici un établissement qui a les fonds d'opération en place, où les médecins sont bien rémunérés et pas surchargé de travail ; pourtant il y a toujours une volonté de regarder de l'autre coté pour un meilleur salaire.

SARA AYER : Ecoutez -

ERIA QUINT : Nous allons faire une pause rapide. Quand nous reviendrons : les niveaux de qualité. Quand les médecins indépendants fournissent de meilleurs soins que certains hôpitaux, comment savoir où confier des vos êtres aimés qui ont besoin d'aide médicale ? Nos deux invités vont reprendre des forces et nou offriront leurs différentes perspectives quand nous reviendrons, pour un autre round sur ShowDown.

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